ABSTRACT

La compilation globale que le capital ‘’capitaliste’’ a atteint de nos jours,, désire propager la souveraineté mondiale en parallèle avec les politiques économiques des pays capitalistes, les EUA en tête, par voie des sociétés internationales (ou bien par l’entremise des sociétés multinationales) , En effet, le phénomène appelé de nos jours, le globalisme, fut fondé en 1648 à l’occasion de la Paix de la Westphalie, et à la fin de la II. Guerre Mondiale, sur base de la Convention de Bretton Woods. On pourra définir le globalisme comme une période de formation de marché global par voie de l’unification de ces marchés, en faisant disparaître tous les obstacles d’ordre économique, pour le but de mettre sur pied la libre circulation des capitaux. Des établissements tels que la Banque Mondiale, le FMI, le GATT, constitués sous la présidence des EUA, organisés aux fins de régulariser l’économie mondiale sou la forme d’une entité. De nos jours, le monde entier sert de scène aux démarches des EUA, par suite de la désintégration des Soviets (1994), aux fins d’établir une hégémonie globale. Les EUA désirent appliquer dans la zone, les politiques qu’ils pourraient contrôler au Moyen-Orient, pour obtenir à son tour, le contrôle des ressources d’énergie telles que le pétrole et le gaz naturel, et pour être en même temps, plus proche de la Russie et de la Chine. Quant à son but primordial, c’est d’établir la domination en Eurasie et au Moyen-Orient, et installer une hégémonie oligarchique à travers le monde, avec ensemble, tous les éléments d’une force impériale. Ce qui est présenté aujourd’hui à titre de libéralisme, ne se compose que des modèles économiques basés sur une doctrine de même genre, allant jusqu’aux années 1930 et reconnu comme une libéralisme dirigée, qui en effet, porte le but de renforcer son autorité atteignant des dimensions globales. Le libéralisme qui prend comme but, non l’homme mais des mesures et des critères tels que la monnaie, le bénéfice, le développement, etc,. se traduit en effet, par le fait de ramener le marché dans son intégrité, tout à fait en harmonie avec les conditions dures de la concurrence. Cette situation ouvre la voie à un milieu où l’écart du précipice entre les pays (le Nord/le Sud) agrandit davantage, où les salaires sont réduits et où les droit sociaux sont taillés.